17 avril 2007


A Lisbonne

Plein soleil et néanmoins fraîcheur : j’ai trouvé la terre mosane déjà trop chaude à mon retour.
Un petit resto où la carte était écrite au bic – et raturée. Ce qui n’empêche : sardines grillées excellentes.
Des hommes et des femmes qui parlent tout seul, celle-ci à l’arrêt de bus, celui-là au milieu de la rue. Leur ton parfois virulent comme s’ils réglaient des comptes avec l’un ou l’autre invisible.
La tombe de Pessoa et l’indifférence des (autres) touristes.
Des anglais commandant des spaghettis bolognese : le plat de secours tout en bas de la carte.
Le goût incomparable du petit café de l’après-midi.
A propos des (autres) touristes : faut toujours que j’en croise qui se comportent en conquérants. A mettre en rapport avec la mauvaise humeur bien affichée de certains chauffeurs de tram et de bus.
Un des premiers cd de Chris Rea : je le cherchais depuis des lunes. Bon moment, bon endroit sans doute.
Et la main qui s’accrochait à mon bras dès que nous sortions de l’hôtel : papa, me perds pas dans cette grande ville inconnue.
See that twinkle in your eyes. Precious moments never die
(John Watts ; Fischer-Z : ‘Red Skies over paradise’, 1980)

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